Anaïs Grangerac, le nouveau visage touche-à-tout de TF1, se dévoile : “Je ne m’excuse plus d’être là”
Sur TF1, personne ne peut passer à côté d’Anaïs Grangerac. Présente dans la matinale et dans The Voice, la trentenaire s’impose comme la nouvelle figure incontournable de la chaîne. Ce mercredi 12 mars, Nice-Matin a fait le portrait d’une animatrice confiante et affirmée.
Dix ans après avoir commencé en tant que jeune chargée de casting sur The Voice, Anaïs Grangerac est aujourd’hui l’un des visages incontournables de TF1. Cette année, elle co-anime de The Voice aux côtés de Nikos Aliagas : la présentatrice de 36 ans impose son style et son ambition. Tout commence il y a dix ans, lorsque Anaïs Grangerac intègre l’équipe de The Voice en tant que chargée de casting. Rapidement, elle gravit les échelons et, aujourd’hui, elle prend la succession de Karine Ferri à la co-animation du télé-crochet phare de TF1. Un rôle qu’elle assume avec fierté au cours d’une interview donnée à Nice-Matin ce mercredi 11 mars : « Je marche à l’instant et quand on m’a parlé du projet, je me suis sentie hyper alignée, c’est une émission à laquelle je suis attachée, dont je connais les coulisses, les gens de l’ombre, l’équipe technique et qui offre une immense visibilité. »
Mais Anaïs Grangerac ne s’arrête pas là. Depuis un an, elle officie dans la matinale de TF1, Bonjour !, et s’apprête à relever un nouveau défi en co-animant Ninja Warrior, prenant ainsi le relais d’Iris Mittenaere. Une ascension qui ne doit rien au hasard, mais bien à un parcours solide et une détermination à toute épreuve. Si certains se souviennent d’elle comme du visage du Loto, Anaïs Grangerac tient à rappeler qu’elle ne se limite pas à ce rôle. « Je ne suis pas seulement la métisse qui présente le Loto, j’ai fait une classe préparatoire littéraire et le CELSA à la Sorbonne. J’avais envie de montrer autre chose à ce moment de ma carrière, démontrer que je pouvais être animatrice mais aussi journaliste. Il faut casser les codes, faire bouger les lignes. », déclare-t-elle à nos confrères.
Jeune maman, Anaïs Grangerac veut prouver qu’il est possible de tout concilier
Ce besoin de prouver sa polyvalence, elle le traduit en diversifiant ses projets. Présentatrice, journaliste, chroniqueuse, Anaïs Grangerac veut toucher à tout. « Mon ambition est que TF1 puisse compter sur moi pour différents types d’émissions. Ce n’est que le début et je ne m’excuse plus d’être là. C’est souvent très féminin comme réflexion, mais je ne me pose plus la question aujourd’hui. Le travail paie et il ne faut pas avoir peur de taper à la porte. », explique-t-elle avec assurance. Mère d’une petite fille, Anaïs Grangerac jongle entre sa carrière florissante et sa vie de famille. La trentenaire confie : « Je suis parent aujourd’hui et c’est un état qui m’ancre encore plus dans la réalité. J’ai plus de recul également. J’ai toujours eu une vie équilibrée, j’ai envie de montrer à ma fille que l’on peut tout avoir dans la vie, tout concilier. Je suis alignée sur ce que j’aime faire professionnellement, j’ai appris la patience aussi. »
Article écrit en collaboration avec 6Médias
