EXCLU VIDÉO - Anne Parillaud “incomprise” par ses parents : “Je n’ai pas vraiment existé dans leur regard”

Ce samedi 24 mai, Anne Parillaud sera la grande invitée de Bernard Montiel dans l’émission 1h avec… sur RFM. Dans un extrait que Gala.fr vous dévoile en exclusivité, l’actrice s’est confiée sur ses parents avec qui elle a eu une relation particulière.
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Ce samedi 24 mai, Anne Parillaud sera à l’honneur dans l’émission 1h avec..., animée par Bernard Montiel sur RFM. Dans un extrait exclusif que Gala.fr vous dévoile, l’actrice de Nikita se livre sans tabou sur son passé, en particulier sur les relations complexes qu’elle entretenait avec ses parents. Dès les premières minutes, le ton est donné. «Rebelle», c’est ainsi que Bernard Montiel la qualifie, un mot qu’elle accueille avec une forme d’évidence. «Je suis presque née rebelle et ça n’a pas bougé. Cela n’a fait que s’épanouir», affirme-t-elle. Un tempérament forgé dans un cadre familial où elle n’a pas trouvé la reconnaissance dont elle avait besoin.
Loin de toute nostalgie édulcorée, Anne Parillaud évoque son enfance avec une lucidité poignante. Lorsque l’animateur lui demande si elle se sentait heureuse étant petite, elle n’hésite pas à le corriger : «Ce n’est pas le mot que je dirai. L’idée du bonheur est très complexe.» Elle confie surtout avoir grandi dans un sentiment de profonde incompréhension. «Être totalement incomprise, totalement pas reconnue et la sensation de ne pas être aimée», lance-t-elle, avant d’ajouter : «Dans des manières différentes, je n’ai pas vraiment existé à leurs regards.» Ce manque de reconnaissance a façonné non seulement sa personnalité. Une distance émotionnelle avec ses parents qui semble avoir nourri sa force intérieure.
Anne Parillaud : une indépendance forgée dans la solitude
Au fil de l’entretien, Bernard Montiel souligne la grande liberté d’Anne Parillaud, son indépendance presque farouche. L’actrice l’admet en souriant : «Oui, c’est un bon résumé.» Mais derrière son ton humoristique, l’actrice française explique ce qu’elle considère aujourd’hui comme une nécessité : «Je me suis mise dans l’esprit qu’il fallait avoir besoin de personne, qu’on était seul.» Un état d’esprit qui remonte à son enfance, conséquence directe d’un manque de confiance en soi. «C’était un problème de confiance. C’est là que ça se joue. Du manque de confiance en soi qui s’étend au manque de confiance aux autres», confie-t-elle avec une sincérité désarmante. Si elle déclare avoir foi en la vie, elle précise toutefois : «pas dans les êtres.»
L’interview intégrale d’Anne Parillaud par Bernard Montiel est à écouter ce samedi 24 mai, dans 1h avec… , sur RFM, dès 12h.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias.