Lucie Castets y croit encore : elle fait une grande annonce !
Lucie Castets n’a pas fini de faire parler d’elle. Dans un entretien accordé au Parisien, paru ce 14 janvier, l’ancienne candidate à Matignon a partagé une grande annonce. Découvrez de quoi il s’agit.
À propos de
Lucie Castets n’en démord pas. Suite aux précédentes élections législatives où la gauche est arrivée en majorité, la politique de 37 ans avait alors été proposée par le Nouveau Front Populaire pour devenir Première ministre. Une proposition qui, pour rappel, avait été rapidement balayée par Emmanuel Macron quelques heures plus tard. Un fait qu’elle avait d’ailleurs fortement déploré lors d’un précédent entretien accordé au Point. "Non pas parce que c’est moi, mais parce que c’est la logique institutionnelle , et que des millions de Français ont voté pour ça", confiait-elle. Mais voilà, lors d’un entretien accordé au Parisien ce 14 janvier, l’intéressée a confié qu’après cet échec, elle reste toujours convaincue que la gauche peut s’unir.
Pour cause, le 29 janvier prochain, Lucie Castets organisera "ses vœux de la victoire" à Pantin. Un événement qui n’est nullement un "meeting", a-t-elle prévenu, mais un "festival" au cours duquel toutes les composantes du NFP pourront prendre part à différents ateliers qui ont pour but de faire "sauter les verrous" d’une victoire du NFP. "L’idée, c’est de rassembler le plus largement possible. En quelque sorte, on souhaite renouveler nos vœux vis-à-vis de l’union de la gauche, et on élargit à la société civile et aux partis qui n’avaient pas pu rejoindre l’union comme l’Après", a-t-elle assuré. Reste à voir si ce prochain rendez-vous va avoir les résultats escomptés…
Lucie Castets : elle se livre sur son échec à Matignon
Lors de sa précédente entrevue avec le Point, Lucie Castets avait partagé son avis sur sa précédente candidature pour Matignon. Lorsque la proposition de la gauche avait été vite rabrouée par le chef d’État, la politicienne de 37 ans a alors beaucoup perdu car, comme l’avait confié le magazine, Bercy n’avait pas voulu la reprendre. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle a dû créer une microentreprise spécialisée dans la lutte contre le blanchiment d’argent et les circuits financiers terroristes, à destination des ONG. "En me lançant dans l’arène politique, j’ai beaucoup perdu professionnellement , à court terme. Mais j’ai choisi de ne pas être dans un parti, d’être libre. Mon message n’est pas brouillé", avait-elle assuré.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias.
