Marie-Sophie Lacarrau : cette particularité sur son CV qu’elle partage avec Julian Bugier

Ce samedi 8 mars, Marie-Sophie Lacarrau était invitée sur le plateau de On refait la télé face à Éric Dussart. La journaliste s’est confiée à propos de son parcours, dont elle partage l’une des spécificités avec son collègue du journal de France 2, Julian Bugier.
À propos de
Elle fait partie des visages incontournables du JT de 13 heures sur TF1. Pourtant, Marie-Sophie Lacarrau n’a pas suivi le parcours classique des journalistes de la première chaîne. Invitée ce samedi 8 mars sur le plateau de On refait la télé face à Éric Dussart, la journaliste est revenue sur ses débuts et sur une particularité qu’elle partage avec son confrère de France 2, Julian Bugier : aucun des deux n’a suivi de formation en école de journalisme. Loin d’un cursus traditionnel, Marie-Sophie Lacarrau a su tirer parti des opportunités qui se présentaient à elle pour faire sa place dans le milieu. « Moi, j’ai fait mes débuts dans les sports automobiles parce que je suis arrivée à ce moment où c’était sympa de mettre une femme pour parler de sport. Ok, vous voulez ça ? Eh bien très bien, moi je vais m’en servir et c’est comme ça que j’ai réussi à faire mes débuts », a affirmé la présentatrice du 13 heures. Une détermination qui lui a permis de s’imposer dans un milieu encore largement masculin.
Cette trajectoire, qui ne correspond pas aux standards des grandes écoles de journalisme, l’animatrice du JT l’assume pleinement. « Je n’ai pas fait d’école de journalisme et donc j’ai saisi cette opportunité-là », a ainsi déclaré Marie-Sophie Lacarrau. Son absence de diplôme spécifique en journalisme a cependant été une source de doute, un sentiment que Julian Bugier avait déjà évoqué. Éric Dussart l’a souligné : « Pas d’école de journalisme : ça vous fait un point commun avec Julian Bugier qui est en face de vous sur France 2. Lui, il confiait que ça l’avait parfois un peu complexé. Ça a été votre cas ? »
Marie Sophie Lacarrau avoir souffert du syndrome de l’imposteur
Sans hésiter, Marie-Sophie Lacarrau a assuré être passée par les mêmes sentiments. « Oui, oui, je confirme. On a ce syndrome de l’imposteur quand on n’est pas passé par l’école. On a l’impression de piquer la place à quelqu’un qui serait davantage légitime. On a l’impression de ne pas avoir les codes. Peut-être de ne pas savoir très bien faire. » a révélé celle qui a affronté une kératite amibienne. Avant de conclure par une note positive : « Avec le temps, ça passe. »