Rachel Legrain-Trapani mariée à Valentin : est-elle sujette à la jalousie ? “Ce n’est pas dans ma nature, mais…”
Entre amour, jalousie et obsession du ménage, Rachel Legrain-Trapani se confie sur sa relation avec Valentin Léonard et l’équilibre de leur vie de famille recomposée.
À propos de
Depuis son mariage avec Valentin Léonard l’an dernier, Rachel Legrain-Trapani semble filer le parfait amour. L’ancienne Miss France et le mannequin partagent leur quotidien avec leur petit Andréa, né de leur union, et Gianni, le fils que Rachel a eu d’une précédente relation avec le footballeur Aurélien Capoue. Pourtant, derrière ce tableau idyllique, la jeune maman reconnaît qu’il lui arrive parfois d’être rattrapée par un sentiment qu’elle pensait ne pas connaître : la jalousie. Elle s’est confiée auprès de nos confrères de Closer sans filtre sur un moment où sa patience a été mise à rude épreuve. “Je me suis déjà surprise à être jalouse”, admet-elle.
Elle se souvient précisément d’une scène qui a éveillé ses instincts de protection : “Une fois, j’ai vu une fille discuter d’un peu trop près avec Valentin. Elle riait, touchait son bras, lui posait des questions d’un air intéressé… Et là, j’ai senti comme un radar s’allumer direct.” Bien décidée à mettre les points sur les i, elle raconte avec humour la suite de la scène : “J’ai avancé avec un sourire un peu trop figé et je lui ai balancé, l’air détendu : Dis donc, c’est à mon mari que tu parles ? Je peux peut-être rire avec vous ?’ Ambiance.” Si la réaction a pu surprendre l’inconnue, Rachel reconnaît qu’elle-même n’en revenait pas : “Elle m’a regardée comme si j’étais folle, et sur le moment, je crois que je l’étais un peu. Ce n’est pas ma nature d’être jalouse tout le temps mais, parfois, il suffit d’un geste de trop pour que la Sicilienne qui dort en moi décide de s’inviter à la fête.”
Le désordre, son véritable point faible
Mais qu’on se rassure, la jalousie n’est pas le principal motif de discorde dans le couple. L’ex-Miss avoue que c’est surtout l’ordre (ou plutôt le désordre) qui la met hors d’elle. Maniaque assumée, elle déclare avec une pointe d’autodérision : “Je suis maniaque et chez moi, un verre qui traîne dans l’évier, c’est plus grave qu’un adultère.”
Avec deux enfants à la maison, il faut dire que la tâche est de taille. “Quand je rentre dans le salon et que je découvre des miettes sous le canapé, sur la table, parfois même dans des endroits où personne n’est censé manger, mon sang commence à bouillir”, confie-t-elle. Dans ces moments-là, impossible pour elle de garder son calme : “Je regarde les enfants, je regarde Valentin, et là, je respire très mal. Ensuite, ça part tout seul.”
Article écrit en collaboration avec 6Médias.
