Julie Gayet au comble du chic : elle surprend avec un accessoire étonnant
Julie Gayet a fait sensation à la première édition du World AI Film Festival à Nice, ce samedi 12 avril. L’actrice de 52 ans, membre du jury, portait sur le bout du nez un accessoire lié au cinéma, tout comme l’ensemble des personnalités présentes.
À propos de
Julie rayonnante au bord de la Méditerranée. Ce samedi 12 avril, l’actrice a illuminé le tapis rouge de la première édition du World AI Film Festival à Nice, un événement placé sous le signe de la rencontre du cinéma et de l’Intelligence Artificielle. Alors que la belle saison était déjà bien installée sur la Côte d’Azur, l’épouse de François Hollande a fait une apparition printanière en étant sublimée par une longue robe fluide rehaussée de manches vaporeuses.
La création épurée et raffinée, qui s’achevait au-dessus de ses chevilles, révélait des escarpins à bouts pointus. De quoi façonner une allure sans fioriture, tandis que la profondeur du noir mettait en lumière une silhouette teintée d’élégance discrète. Tout comme l’ensemble des célébrités présentes, à l’instar de Claude Lelouch ou Alexia Laroche-Joubert, Julie Gayet portait des lunettes rouges dont les verres transparents révélaient son regard. Un accessoire rétrofuturiste associé à l’événement puisqu’il faisait écho à la magie du septième art et à l’intelligence artificielle.

Quel est le style vestimentaire de Julie Gayet ?
Dans une interview accordée au magazine ELLE il y a quelques années, Julie Gayet s’ouvrait sur son style et ses nuances préférées : « Les couleurs sombres, c’est mon rayon. Mélanger le noir et le bleu marine, ça, c’est vraiment moi ! » Sa silhouette idéale ? Un brin androgyne avec des vêtements empruntés au vestiaire d’homme : « Il n’y a rien de plus beau qu’une femme en smoking Yves Saint Laurent, ma référence en élégance ! Je suis très attachée au style masculin », confiait-elle alors avant d’ajouter : « Le style, pour moi, c’est avant tout savoir décaler, bousculer les grandes griffes de luxe avec des touches de rock. C’est beau quand c’est un peu trash. » C’est à Londres, où elle a intégré l’Actors Studio, que la Parisienne a pu expérimenter la mode : « On pouvait s’habiller comme on voulait, personne ne nous jugeait. »