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EXCLU - Valéry Giscard d'Estaing infidèle : « Sa femme ne savait pas où il était le soir »

Valéry Giscard d’Estaing était, à l’instar de Jacques Chirac, un homme volage. Le soir, il lui arrivait de quitter son foyer pour rejoindre en douce ses conquêtes. Son épouse Anne-Aymone ignorait où il était. C’est ce que rapporte Jean Garrigues, auteur d’Une histoire érotique de l’Élysée, au cours d’un entretien accordé à Gala.

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Ce n’est pas anodin si Valéry Giscard d’Estaing était surnommé « Valéry Folamour ». Comme le raconte Jean Garrigues dans son livre Une histoire érotique de l’Élysée, paru en octobre aux éditions Payot, l’ancien président de la République était un séducteur invétéré , voire « compulsif » . Comme Jacques Chirac, Valéry Giscard d’Estaing aurait lui aussi eu le droit à sa garçonnière, dénichée par son bras droit Michel Poniatowski. Amoureux des femmes, on lui a prêté de nombreuses aventures, qui n’ont jamais réellement été prouvées... Il y aurait eu la chanteuse Marie La Forêt, récemment décédée, l’actrice Marlène Jobert et même Lady Diana, dont les rumeurs de liaison obsédaient d’ailleurs Jacques Chirac. Il n’était pas rare que Valéry Giscard d’Estaing s’éclipse à la nuit tombée. « Giscard préservait farouchement sa vie privée. Sa femme ne savait pas où il était le soir » , confie Jean Garrigues, auteur d’Une histoire érotique de l’Élysée, dans un entretien accordé à Gala.

L’auteur de cet ouvrage consacré aux plaisirs libertins des hommes de pouvoir précise que le couple Giscard d’Estaing battait de l’aile avant l’élection présidentielle : « lIs étaient quasiment séparés avant qu’il soit élu . Ils se sont remis ensemble mais c’était une sorte de fiction », explique Jean Garrigues. Et de préciser, au sujet de l’ancien chef d’État : « Il avait une vie privée très autonome. Ça a éclaté au grand jour avec la fameuse affaire de la camionnette du laitier ». Cette anecdote sur laquelle l’historien revient remonte à l’année 1974.

Un soir de septembre, le président de la République de l’époque, qui s’apprête à rejoindre l’Élysée au petit matin, heurte le camion d’un laitier près de la place de l’Étoile. « La rumeur laisse entendre qu’il était aux côtés de l’actrice Marlène Jobert, qui ne confirmera jamais », écrit Jean Garrigues dans Une histoire érotique de l’Élysée. D’autres ont assuré qu’il était en compagnie de Roger Vadim et de sa cinquième épouse ou encore d’une cousine de son épouse Anne-Aymone… Au sujet de cette histoire, le mystère reste entier.

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"Il avait un instinct de séduction extrêmement fort"

D’après Jean Garrigues, Valéry Giscard d’Estaing était comme obsédé par l’idée de séduire. « Il avait un instinct de séduction extrêmement fort qui l’animait, y compris dans sa démarche de campagne électorale où son ambition était justement de séduire les femmes qui venaient l’écouter ». C’est d’ailleurs grâce au vote féminin qu’il aurait remporté l’élection présidentielle de 1974, affirme l’auteur d’Une histoire érotique de l’Élysée (Éd. Payot). « Dans son esprit, il y a ce mélange entre la séduction intellectuelle d’un candidat à l’élection, qu’on pourrait appeler la séduction politique, et la séduction physique , charnelle et sentimentale », analyse l’historien Jean Garrigues.

Anne-Aymone Giscard d’Estaing, elle, a dû s’accommoder des infidélités de son époux. Il lui est même arrivé de les justifier, en rappelant « le besoin d’affection » de l’homme de sa vie. « Ce type de relation repose beaucoup sur une sorte de silence accepté, de vérité par omission. On préfère fermer les yeux », note Jean Garrigues. Pour Anne-Aymone Giscard d’Estaing comme pour Bernadette Chirac, « l’exercice du pouvoir s’est accompagné d’ une souffrance ».

Retrouvez notre dossier :

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