Valérie Perrin, son histoire d’amour avec Claude Lelouch lui a d’abord paru impossible : “J’avais 39 ans, lui 69”
Ce dimanche 22 décembre, Valérie Perrin était l’invitée de Frédéric Lopez dans l’émission Un Dimanche à la campagne.
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Valérie Perrin, Calogero et Nora Hamzawi étaient les invités de Frédéric Lopez ce dimanche 22 décembre, pour l’émission dominicale Un dimanche à la campagne diffusée sur France 2 à 16h55. Après une partie de Times’Up, la romancière française est revenue sur sa rencontre avec Claude Lelouch. À l’époque, Valérie Perrin écrivait sans avoir encore osé publier un livre et elle admirait depuis l’enfance le travail de Claude Lelouch. « J’aimais tellement cet artiste», s’est remémoré Valérie Perrin. « Dans mon esprit, il était absolument impossible pour moi, j’avais 39 ans, lui 69 ans, et il m’a dit bonjour », a-t-elle commencé par expliquer.
« J’ai fait un truc particulier, que je fais rarement : je lui ai caressé la joue parce que je le voyais pour la première fois », a confié l’écrivaine. « Il n’y avait aucun truc de séduction ou d’amour. C’est impossible à ce moment-là », a précisé Valérie Perrin. « À ce moment-là, c’est compliqué dans sa vie personnelle », a expliqué la romancière. Elle reconnaît que leur couple a dû traverser « des moments monstrueux, hyper compliqués et super difficiles » car ils avaient 30 ans d’écart et Claude Lelouch était marié. Bien qu’ils ne se soient mariés qu’en juin 2023, ils formaient un couple depuis 17 ans déjà.
Passer la publicitéClaude Lelouch toujours fou amoureux de Valérie Perrin
Claude Lelouch s’est confié dans les colonnes de Gala fin octobre. S’il n’hésite pas à se livrer sur sa carrière de cinéaste et même sur sa sexualité, Claude Lelouch a aussi quelques mots doux pour son épouse. « Valérie, qui a 57 ans, est venue à moi », a raconté le cinéaste. « Je l’ai rencontrée alors qu’elle m’avait adressé une lettre de trois pages qui flattait mon ego et dont je trouvais l’écriture assez exceptionnelle. » Mais avant de tomber amoureux d’elle, il a d’abord voulu collaborer avec l’écrivaine. « J’étais père de sept enfants, j’avais assez vécu pour aller à l’essentiel. D’abord, j’ai voulu travailler avec elle. Ensuite, je l’ai poussée à écrire. Aujourd’hui, ses livres sont en 52 langues », a-t-il expliqué avant de conclure avec admiration. « J’ai une chance folle de l’avoir. »
