Emmanuel Macron aux commémorations du 8-Mai : sa nouvelle voiture cache une particularité bien précise !
VIDÉO - Le défilé de la cérémonie de commémorations du 8-Mai a permis de dévoiler la nouvelle voiture présidentielle, une DS n°8 électrique.
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C’est au milieu des chevaux et des deux-roues qu’Emmanuel Macron a descendu l’avenue des Champs-Élysées dans sa toute nouvelle voiture présidentielle à l’occasion de la cérémonie de commémorations du 8-Mai. Il s’agit d’une DS8 électrique. « La nouvelle DS qui a une autonomie de 750 kilomètres paraît-il. Nouveau fleuron de l’industrie française, c’est la première fois qu’on la voit », a commenté Julian Bugier sur France 2. Comme le précédent véhicule présidentiel (le Renault Rafale hybride), la DS8 est également blindée.
Outre le fait qu’elle soit 100 % électrique, la DS n°8 présente un toit ouvrant ! « Elle mélange les univers de la berline, du crossover et du coupé », note l’Argus . Si seule sa version électrique est pour l’instant (tout juste) disponible sur le marché, une version hybride serait prévue pour 2026 d’après Actu.fr . Comptez un premier prix à partir de 59 200 € pour le nouveau SUV de Stellantis, hors options. « Avec sa silhouette effilée et pure, N°8 allie fluidité, élégance et précision. Les surfaces sensuelles et raffinées des flancs contrastent avec les traits ciselés et incisifs des faces avant et arrière, pour un design à la fois futuriste et intemporel », précise le site du constructeur haut de gamme français.
Emmanuel Macron : quel conducteur est-il ?
Si Emmanuel Macron apprécie les belles voitures, est-il un bon conducteur ? Dans une séquence BFMTV de 2014, l’ancien ministre de l’Économie avait avoué en marge du Mondial de l’Auto qu’il n’était pas un conducteur modèle. « Lorsque je conduisais, j’aimais plutôt accélérer et sentir le moteur, donc je suis un très mauvais élève de ce côté-là, ne le répétez pas ! », avait-il révélé. Lors d’une interview accordée à M6 en 2022, l’époux de Brigitte Macron avait même révélé avoir raté son permis de conduire. « Il est rare d’obtenir son permis du premier coup, confiait-il. Je l’ai raté une fois, oui, ce n’est pas très glorieux », a-t-il confié. Il aurait finalement obtenu le précieux sésame en 1998.
Article écrit en collaboration avec 6Medias.
