EXCLU - Michel Polnareff fait une mise au point sur ses finances : “Je n’ai jamais été un exilé fiscal”
À l’occasion de sa tournée dans toute la France, Michel Polnareff a accepté de se confier dans les colonnes de Gala, en kiosque le 15 mai 2025. Le chanteur en a profité pour mettre les choses au clair sur ses finances.
À propos de
Un nouvel album, intitulé Un temps pour elles, dans les bacs depuis le 25 avril et une série de concerts appelée La Derrière tournée, à 80 ans, Michel Polnareff ne s’arrête plus. Après son show au Zénith de Caen le 6 mai dernier, le chanteur s’est confié dans les colonnes du numéro 1666 de Gala, disponible en kiosque ce jeudi 15 mai 2025. Pour l’occasion, il a accepté de faire une mise au point sur ses finances. Quand on lui a demandé s’il se considérait comme un homme d’excès, le père de Louka, né en 2010, a avoué : « Sûrement. Je suis très généreux, aussi. »
Mais Michel Polnareff s’est surtout rappelé : « J’ai d’ailleurs vécu une expérience intéressante lorsque je suis parti, sans un rond, aux États-Unis après que mon homme d’affaires m’a tout piqué et laissé une ardoise aux impôts. » Avant d’ajouter : « Je tiens d’ailleurs à préciser que je n’ai jamais été un exilé fiscal. » Le chanteur refuse que ses fans pensent qu’il est parti vivre Outre-Atlantique pour fuir. « J’ai mis une dizaine d’années à tout rembourser », a-t-il révélé. Puis, il a déclaré : « Il fallait juste que je m’en aille pour me refaire. »
Michel Polnareff installé en Californie depuis des années, il ne cache pas son soutien à Donald Trump
Le chanteur a choisi de quitter la France et de s’installer aux États-Unis, plus précisément en Californie, dans les années 1970. Interrogé par le magazine belge SoirMag, le 8 mai dernier, il a fait quelques confidences à ce sujet. Il a notamment révélé que la France lui manque « parfois », avant de préciser : « Mais quand j’y suis, ce n’est plus la même. » Michel Polnareff a tenu à préciser : « Mais je garde sur elle un regard bienveillant. »
D’autant plus qu’il se plaît aux États-Unis et est un fidèle supporter de Donald Trump depuis plusieurs années. Nos confrères lui ont demandé ce qu’il pensait des débuts compliqués du second mandat du président américain, ce à quoi il a répondu : « Il faut lui laisser le temps de s’installer, il vient juste de recommencer. Et je pense que de toute façon, il n’y avait pas le choix, il fallait arrêter le système d’avant. » Admiratif du mari de Melania Trump, il a ajouté : « Je préfère un président qui gueule qu’un président qui dort. »
Cet article est à retrouver dans le Gala N°1666, disponible le jeudi 15 mai dans les kiosques. Pour suivre l'actualité en direct, vous pouvez rejoindre le fil WhatsApp de Gala .
Article écrit avec la collaboration de 6Médias.