Nicolas Sarkozy condamné : sa belle-mère Marisa a un avis bien tranché !
Condamné en décembre 2024 à trois ans de prison, dont deux avec sursis, et port de bracelet électronique, Nicolas Sarkozy s’est exprimé sur sa situation il y a quelques jours. Sur Instagram, sa belle-mère Marisa lui a témoigné son soutien.
À propos de
Un ancien président avec un bracelet électronique à la cheville : du jamais vu dans l’histoire de la Ve République. En décembre dernier, la Cour de cassation a validé la condamnation de Nicolas Sarkozy à trois ans de prison, dont deux avec sursis, dans l’affaire Bismuth, aussi appelée affaire des écoutes, pour corruption et trafic d’influence. En plein procès autour du financement supposé de sa campagne de 2007 par le dictateur libyen Mouammar Khadafi, l’ex-chef d’État a pris la parole sur les réseaux sociaux dans un post dans lequel il explique suspendre ses activités publiques « pour ne pas donner le sentiment de solliciter le moindre privilège ».
Une déclaration qui a suscité l’émotion de ses proches, à commencer par son épouse Carla Bruni, mais aussi sa belle-mère Marisa. Sur son compte Instagram, où elle partage régulièrement des photos de ses filles et de son quotidien, la grand-mère de Giulia a republié une capture d’écran du message écrit par son genre, avec en légende : « Nicolas, je suis avec toi. Marisa. »
Nicolas Sarkozy soutenu par sa famille en plein procès
Dans son post, Nicolas Sarkozy affirmait avoir été « victime » d’une « injustice ». « J’ai volontaire renoncé à certains des aménagements que la loi m’offrait », a-t-il fait savoir. Présente à ses côtés dans cette tempête judiciaire, son épouse lui a fait une déclaration sur Instagram. Relayant cette prise de parole, l’artiste de 57 ans au million d’abonnés a sobrement écrit : « Je t’aime Nicolas. »
Avec son bracelet électronique, l’ancien président est autorisé à quitter son domicile entre 8 heures et 20 heures, selon les informations du Parisien. Les jours de ses comparutions au tribunal correctionnel de Paris, ces horaires sont adaptés : il a jusqu’à 21h30 pour rentrer chez lui. Nicolas Sarkozy n’a pas demandé de libération conditionnelle immédiate, bien qu’il puisse en bénéficier en raison de son âge – il vient de célébrer ses 70 ans.