Christine Bravo, maman fusionnelle : ce rituel instauré avec sa fille depuis de nombreuses années
Ce mardi 13 mai, Christine Bravo célèbre ses 69 ans. Alors qu’elle était récemment de passage à Ibiza, l’animatrice a honoré un rituel avec sa fille, comme elle l’a confié sur ses réseaux sociaux. Mais alors, de quoi s’agit-il ?
À propos de
Telle mère, telle fille. Christine Bravo, qui fête ses 69 ans ce mardi 13 mai, a récemment quitté sa Corse adorée pour passer quelques jours de vacances à Ibiza. À l’issue de son séjour, l’animatrice a pris la parole sur ses réseaux sociaux, afin de partager quelques adresses qu’elle a particulièrement appréciées. En plus des boutiques de vêtements, celle qui est mariée à Stéphane s’est rendue à La familia Ibiza, un concept qui allie bar, design et tatouages.
Dans cet endroit, l’amie de Laurent Ruquier a d’ailleurs honoré un rituel qu’elle a avec sa fille Clara depuis des années, comme elle l’a révélé sur Instagram. «Suite de mes bonnes adresses à Ibiza , j’ai découvert ce concept La familia Ibiza où je me suis faite tatouer OUI ! Ma fille et moi on se fait tatouer les MÊMES symboles depuis quelques années… Je vous montre mon tatouage demain», a-t-elle écrit, en légende d’une série de clichés de l’établissement (et de sa tatoueuse !). Autant de souvenirs gravés à vie.
Christine Bravo : qui est Philippe Brunel, son ex-mari et père de sa fille Clara ?
Avant de s’épanouir auprès de Stéphane Bachot, Christine Bravo a été mariée à deux reprises. Une première fois avec Paco Cervantes, le père de son premier enfant, puis avec le journaliste Philippe Brunel, avec lequel elle a eu sa fille Clara. Né en 1956, ce dernier est écrivain et journaliste, spécialiste du cyclisme. «Journaliste à L’Équipe, il fut pendant près de dix ans l’un des interlocuteurs privilégiés de Marco Pantani», détaille Babelio dans sa biographie.
Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages, comme Vie et mort de Marco Pantani (Grasset), La Nuit de San Remo (Grasset) ou encore Rouler plus vite que la mort (Grasset). Mais, c’est avec Laura Antonelli n’existe plus (Grasset, 2021), que Philippe Brunel s’est distingué. Lors de sa deuxième édition, le prix créé par l’Automobile Club, qui «a pour vocation de récompenser une œuvre originale francophone dont le style et le sujet évoquent la vitesse, qu’elle soit celle de l’action, de la plume ou de l’esprit», comme le détaille Livres Hebdo, lui est décerné.